Histoire de la Peste
Lorsqu’on pense à la peste, on voit une maladie ravageuse et meurtrière. On voit un grand nombre de morts, de corps abandonnés. Mais lorsqu’on étudie plus précisément le sujet, on remarque qu’elle n’a pas eu que des côtés néfastes. En effet, elle a eu un certain impact sur l’évolution de la médecine au cours du temps. Au début, les médecins utilisaient la phytothérapie, les superstitions, ainsi que les prières pour soigner les malades. La peste était considérée comme une punition, une vengeance des Dieux sur les hommes. Il n’y avait donc pas vraiment de remèdes concrets contre cette maladie. C’est seulement en 1347, alors que le catholicisme interdisait les dissections de cadavres, que le pape Clément VI engagea plusieurs médecins de la peste afin de pratiquer des autopsies dans l’espoir de découvrir la cause de cette maladie et sa thérapeutique. Grâce à cette autorisation la bactérie a pu être identifiée par Alexandre Yersin et de nombreux chercheurs ont pu créer l’un des premiers vaccins. Ils se sont aussi appuyés sur des recherches déjà effectuées sur les procédures d’autopsie en Orient, car eux, non pas été freinés par la religion et ont continué de faire évoluer les recherches faites au temps des romains et des grecs. Il y a également eu une amélioration très rapide au niveau de l’hygiène. Effectivement, c’est au cours de cette époque que les mesures d’isolement et de séparation des malades dans les hôpitaux, selon leur degré de contagion de leur maladie, apparaissent.
Apparition:
La première épidémie de peste apparut en 541 av. J.C lors de la peste de Justinien venue d'Asie. Puis, elle s’éteint en 767 après J.C, on ne s’est pas vraiment pourquoi.
La première épidémie de peste apparut en 541 av. J.C lors de la peste de Justinien venue d'Asie. Puis, elle s’éteint en 767 après J.C, on ne s’est pas vraiment pourquoi.
En 1346, les Tartars attaquent la ville portuaire de Caffa, comptoir commercial se trouvant aux bords de la mer Noire. Afin de conquérir la ville, ils eurent l’idée de catapulter au-dessus des remparts de la ville, des corps pestiférés et quelques cadavres de leurs combattants. Cette ville fut donc touchée par l’épidémie. En 1347, des navires provenant de Caffa, contenant des germes mortelles accostèrent à Marseille. Le virus se propagea et toucha toute l’Europe. On nomma cette épidémie: la peste noire, car elle ravagea l`Europe et tua plus de la moitié de sa population.
La transmission
La bactérie Yersina Pestis, nommée par le nom du vaudois Alexandre Yersin, est dans une puce qui va sauter sur un rat. Les rats vont ensuite passer de continents en continents par voie maritime. Elles toucheront l'humain qui décédera de la peste bubonique ou pulmonaire. Les corps laissés dans la rues vont proliférer la contagion. La décomposition des corps et le manque d'hygiène vont augmenter la quantité des rats dans les rues et donc de bactéries. L'humain, ne connaissant pas les techniques de traitements de nos jours, utilisaient simplement la phytothérapie ou alors espéraient que les Dieux les soignent.
La bactérie Yersina Pestis, nommée par le nom du vaudois Alexandre Yersin, est dans une puce qui va sauter sur un rat. Les rats vont ensuite passer de continents en continents par voie maritime. Elles toucheront l'humain qui décédera de la peste bubonique ou pulmonaire. Les corps laissés dans la rues vont proliférer la contagion. La décomposition des corps et le manque d'hygiène vont augmenter la quantité des rats dans les rues et donc de bactéries. L'humain, ne connaissant pas les techniques de traitements de nos jours, utilisaient simplement la phytothérapie ou alors espéraient que les Dieux les soignent.
Même les prêtres avait compris qu'il ne fallait pas touché les pestiférés, car il y avait un grand risque de contracter la peste lors du contacte.
Rapidement, les gens durant la peste Noire ont remarqué que les morts et la saleté attiraient les rats dans les villes. Alors, ils ont décidé de nettoyer les rues en enterrant les cadavres. Ici, deux images nous montrant le tri des mort.
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Traitements:
L'humain, ne connaissant pas les techniques de traitements de nos jours, utilisaient simplement la phytothérapie ou alors espéraient que les Dieux les soignent. En effet, ils n'avaient pas les connaissance pour trouver un traitement, car toutes dissections étaient interdites par la religion catholique, car l'âme risquait d'être dérangée et donc plus saine pour aller dans l'au-delà. Donc les traitements principaux étaient simplement:
L'humain, ne connaissant pas les techniques de traitements de nos jours, utilisaient simplement la phytothérapie ou alors espéraient que les Dieux les soignent. En effet, ils n'avaient pas les connaissance pour trouver un traitement, car toutes dissections étaient interdites par la religion catholique, car l'âme risquait d'être dérangée et donc plus saine pour aller dans l'au-delà. Donc les traitements principaux étaient simplement:
- Prier les saints, saint-Roch et saint-Sébastien
- Organiser des processions de flagellances, brûler les hérétiques et les lépreux accusés de propager la maladie, ainsi que les juifs
- L'usage d'antidotes, les sécrétions animales (sang de vipère et bave de crapaud), etc.
- La thériaque, composée de multiples plantes, a été utilisée. Sa teneur en opium devait diminuer légèrement la diarrhée et les douleurs
- La purge et la saignée, en aggravant l'état de choc et la diarrhée, permettaient peut-être d'abréger les souffrances des patients
- « Chez nous, au début de l'épidémie, et qu'il s'agit des hommes ou des femmes, certaines enflures se produisaient à l'aine ou sous l'aisselle : les unes devenaient grosses comme des pommes ordinaires, d'autres comme un oeuf, d'autres un peu plus ou un peu moins. On les appelait vulgairement bubons. (...) Après quoi le symptôme du mal se transforma en taches noires ou livides qui, sur beaucoup, se montraient aux bras, aux cuisses et en tout autre point, tantôt grandes et espacées, tantôt serrées et menues. (...) Quant au traitement de la maladie, il n'était point d'ordonnance médicale ou de remède efficace qui pût amener la guérison ou procurer quelque allègement. (...) Les guérisons étaient rares, et, dans les trois jours qui suivaient l'apparition des symptômes déjà signalés, et plus ou moins vite selon le cas, mais généralement sans fièvre et sans autre trouble apparent, presque tous les gens atteints décédaient. L'intensité de l'épidémie s'accrut du fait que les malades, par leur commerce journalier, contaminaient les individus encore sains. »
- La vie à Florence en 1348-1349, d'après BOCCACE, extraits du Décaméron (écrit vers 1350-1353).
- Cité in NOHL, Johannes, La mort noire : Chronique de la peste d’après les sources contemporaines (traduit de l’anglais par Anne Howe), Paris, Payot, 1986, pp. 26-27.
Médecins:
Les médecins du Moyen-Âge n'avaient pas fait autant d'études que ceux de nos jours. En effet, il avaient que les connaissances de bases qui permettaient d'utiliser les plantes et c'était de simple prêtres... Mais au cours de la peste, le médecin a pris plus d'importance, il apprend aussi avait mieux observer les symptômes et prend la maladie de la peste au sérieux. Il prend conscience que lui aussi peut mettre sa vie en péril. Il crée donc qui costume de médecin munis d'un grand bec rempli d'épice pour éviter les mauvaises odeurs et de respirer la peste, car elle peut aussi être pulmonaire.
Les médecins du Moyen-Âge n'avaient pas fait autant d'études que ceux de nos jours. En effet, il avaient que les connaissances de bases qui permettaient d'utiliser les plantes et c'était de simple prêtres... Mais au cours de la peste, le médecin a pris plus d'importance, il apprend aussi avait mieux observer les symptômes et prend la maladie de la peste au sérieux. Il prend conscience que lui aussi peut mettre sa vie en péril. Il crée donc qui costume de médecin munis d'un grand bec rempli d'épice pour éviter les mauvaises odeurs et de respirer la peste, car elle peut aussi être pulmonaire.
En guise de conclusion, grâce à la peste, la médecine a pu faire un grand pas en avant. La chirurgie a pu se développer grâce au Pape Clément VI qui a permis les autopsies. Les recherches de Alexandre Yersin basé sur des épidémies de peste en Indochine, on permis par la suite de créer un vaccin assez efficace pour pouvoir guérir de la peste. Malgré que la peste ait créé beaucoup de perte, elle a été bénéfique pour l'évolution de la médecine à travers les siècles.